Dimanche après-midi, lire les journaux de la semaine.
Au détour d’une page, être touchée par ces quelques vers de Patrice de la Tour du Pin, qu’on aime toujours autant :

Quand l’air libre manque et qu’il faut quand même
Pouvoir respirer avant le déclin,
Quand tout est suintant d’impuissance humaine,
Mais qu’on peut choisir entre rire et rien,
C'est un petit refuge que j’aime
Il s’est amoindri mais je le tiens bien.

Le matin, avant que la journée ne démarre avec son lot de difficultés, de violences, d’aberrations et de souffrances, aller voir les trois boutons de roses qui promettent et des fleurs et du parfum très doux et un lendemain.