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  • Du pardon.


    Le thème du pardon est clairement abordé dans Ma vie était un fusil chargé. Plusieurs lecteurs, lors de rencontres ou par messages, m’en ont parlé et s’en sont étonné.
    J’ai mesuré à chaque fois combien la souffrance inconsolable est si souvent partagée, hélas, qu’il est urgent d’agir autrement qu’en suivant les schémas si communs du conflit.
    Poser l’acte du pardon ne signifie aucunement oublier. C’est poser un regard d’humanité sur soi-même et sur l’autre, rétablissant ainsi une égalité entre la victime et le bourreau, d’autant que ce dernier estime que les rapports entre les êtres humains sont nécessairement des rapports de domination. En pardonnant, on redevient un être humain à part entière et non plus déterminé uniquement par l’irréparable semé un jour et qui est, il est vrai, semé pour toujours. On se tourne vers la vie. Une autre vie que celle qui aurait pu être, certes ; mais vie.

  • Cellule intérieure, Ma vie était un fusil chargé, rythme d’été.

    Regarder : Regarder tout autour de soi et regarder en soi, être attentif à l’ici et à l’ailleurs mais aborder le monde forte de ce que Catherine de Sienne appelait sa « cellule intérieure », un lieu non pas d’enfermement mais de renforcement de son élan vital. Important, cela…

    Ma vie était un fusil chargé : Une nouvelle recension de Ma vie était un fusil chargé ! Merci beaucoup pour cette lecture !

    Rythme d’été : Le blog prend son rythme d’été, à savoir deux publications par semaine (le lundi et le jeudi) avec, de temps en temps, la rediffusion d’anciens Bonheurs du Jour.