A l’orée du bois : Il fait encore bien chaud pour que les massifs forestiers soient largement ouverts mais on peut aller y faire quelques pas. Déjà, rester à l’orée du bois est un bienfait : d’un côté, les maisons et la route sinueuse, de l’autre, les arbres qui veillent sur le monde. Hier, leur silence semblait sacré comme si on entrait dans un sanctuaire.
Emotion : Quelques mots d’une lectrice d’Aussitôt que la vie : « je l’ai lu d’une traite, quelques passages sont des bijoux, l’impression que je retiens c’est le mot « vibrant », il faut continuer. » Merci.
marie gillet
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A l’orée du bois, l’avis d’une lectrice d’Aussitôt que la vie.
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Aussitôt que la vie passe de mains en mains, pluie bienfaisante, la littérature c’est de l’amour.
Emotion : Une lectrice envoie un message après avoir lu « Aussitôt que la vie ». Des mots pleins de gentillesse et d’émotion qui font chaud au cœur. Cerise sur le gâteau : elle a prêté son exemplaire à une amie qui est en train de le lire aussi et l’apprécie tout autant, et elle le prêtera encore. Joie de savoir que mon livre peut ainsi passer de mains en mains.
Pluie : Pluie bienfaisante sur les plantes rassemblées au milieu de la terrasse, les lavant de toute poussière et donnant à leurs feuilles comme l’air d’un sou neuf.
Citation : Dans une lettre de juillet 1986, Marguerite Yourcenar cite une des dernières phrases de Borgès : « Au fond, la littérature, ce n’est que de l’affection.» Elle ajoute : « J’irai plus loin même, et je dirais : « de l’amour ». (1)
(1) Marguerite Yourcenar et Silvia Baron Supervielle, « Une reconstitution passionnelle, Correspondance 1980-1987 », Ed. Gallimard, 2009, p. 75.