Partir au travail après avoir fait une grande partie du repassage de la semaine, changé les draps, programmé une lessive et balayé.
Tout en fermant la porte, se dire que cela fait bien longtemps qu’on n’a pas écouté la 4ème Symphonie de Mahler, qu’on aime par-dessus tout.
Monter dans la voiture.
Mettre le contact.
Allumer la radio.
Et entendre le deuxième mouvement de cette symphonie.
Oh, quel plaisir !
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23 mars 2010. Mon si cher ami Gustav.