« Accepter l’inévitable tristesse. Consentir au tragique de l’existence. Ne pas se raidir contre la vie en la niant. Cesser de la rêver autre qu’elle n’est. Epouser la réalité. Quelle qu’elle soit. » (Eric-Emmanuel Schmitt, Ma vie avec Mozart, Albin Michel, 2005, page 61)
Lundi, Symphonie n°40, K550
Mardi, Concerto pour clarinette, K622
Mercredi, le passage "Et incarnatus est", de la Grande Messe en ut mineur
Jeudi, encore la même Grande Messe
Vendredi, Sonate pour piano n°10, K330