Ecouter longuement une jeune personne parler d’un échec
D’abord l’écouter. Le temps qu’il faut.
Penser aussi à ses propres échecs. Si nombreux. Il n’y en a pas qu’un. Peut-on les compter ?
Se rappeler aussi qu’un jour, après un énième échec (car on se mettait toujours dans cette situation de ne pas réussir), on en a terminé de penser en négatif : « je n’ai pas », « je ne suis pas », « je ne peux pas ».
Et, tout en regardant l’amaryllis déployer ses fleurs blanches, lui dire qu’un échec est toujours positif, qu’on ne peut pas toujours y arriver du premier coup, et que si l’échec se reproduit à plusieurs reprises, alors là, il faut peut-être réfléchir à ce qu’on est en train de tenter : est-ce le bon choix ? car on ne peut penser à soi-même en termes constamment négatifs.
Terminer la conservation en prenant rendez-vous pour un prochain thé.
échec positif
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Echec positif.