Retourner à Oneglia pour visiter le Museo dell’Olivo.
De salle en salle, mesurer et approuver le culte rendu à cet arbre si généreux et admirer les outils qu’utilisaient autrefois les paysans. C’est beau d’avoir gardé tous ces outils, ces jarres, ces pressoirs ; et ces flacons dans lesquels, dès l’Antiquité, on mettait du baume à l’huile d’olive.
Prendre le temps de regarder une vidéo sur les vertus du régime méditerranéen. La petite fille qui gigote sur sa chaise finit par dire : « C’est comme ça que tu manges, toi ».
Et ensuite, prendre le temps aussi d’aller chez Carli commencer la provision d’huile d’olive : Delicato, Extra Fruttato, Extra, Extra Bio, Tradizionale, en bouteille, en bidon.
Passer chez Acassia pour goûter, là, des huiles de petits producteurs servies, pour la dégustation, dans de tout petits verres. Chercher les huiles bien fortes et partir avec quelques bouteilles estampillées DOP (Denominazione di Origine Protetta).
Au retour, croiser Ulysse qui revient justement de Pieve di Teco où il est allé acheter, chez Marchisio, un sécateur afin de tailler les oliviers de ses parents. Il indique le chemin sur son navigator pour qu’on puisse s’y rendre facilement.
Allez au bout de la Piazza Dante prendre encore un café. Faire le point sur la provision d’huile.
musée de l'olivier
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Provision. 5 : Oilo.