- Les calicotomes épineux jaune d’or dont les buissons flamboyants sont tout épanouis sur les pentes du Garlaban, « énorme tour de roche bleue » (1)
- Les iris sauvages, jaunes ou violets, qui bordent le sentier : « du côté des collines (…) un chemin muletier, d’où partaient quelques sentiers qui menaient au ciel » (2)
- Les narcisses douteux
- Les nuages joufflus si blancs, puis gris, puis comme l’acier car ils résistent au vent d'est.
- Les bouquets bleus de globulaires buissonnantes
- L’euphorbe characias aux fleurs en ombelle, d’un violet ombrageux, dont on sait que la tige, si on la coupait, libérerait un latex irritant
- Les touffes de thym dont on peut voir parfois, maintenant, les sommités fleuries
- Les gerbes de romarin au bleu si doux
- La vipérine commune, poilue, dont les fleurs sont plus violettes que celles de la lavande
(1) Marcel Pagnol, La gloire de mon père, 1957
(2) Marcel Pagnol, Jean de Florette, 1963