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  • Splendeurs


    de l’amaryllis blanc totalement épanoui. Tellement grand et haut que sa tige ploie et qu’il est préférable, pour ne pas que la fleur s’abîme, de la couper et de la mettre dans un vase qui restera aussi sur la table de la terrasse : l’amaryllis aimait bien être entouré du cyclamen, être à l’ombre de la vigne vierge et ainsi recevoir en passant de fugaces visites d’abeilles.

    des pommes rouges, jaunes, et bronze (celles-ci sont les belles canadas, incomparables pour les tartes) installées dans le compotier en verre et près desquelles, en s’installant pour tricoter, on est enveloppé d’un doux parfum qui doit être celui des vergers.

    de la mer aux teintes d’émeraude et de malachite et du ciel qui a préféré le bleu du saphir. Tous deux sont agités par le grand vent. Ainsi, les écumes blanches des vaguelettes font face en souriant aux petits moutons tout blanc.