Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Splendeurs


de l’amaryllis blanc totalement épanoui. Tellement grand et haut que sa tige ploie et qu’il est préférable, pour ne pas que la fleur s’abîme, de la couper et de la mettre dans un vase qui restera aussi sur la table de la terrasse : l’amaryllis aimait bien être entouré du cyclamen, être à l’ombre de la vigne vierge et ainsi recevoir en passant de fugaces visites d’abeilles.

des pommes rouges, jaunes, et bronze (celles-ci sont les belles canadas, incomparables pour les tartes) installées dans le compotier en verre et près desquelles, en s’installant pour tricoter, on est enveloppé d’un doux parfum qui doit être celui des vergers.

de la mer aux teintes d’émeraude et de malachite et du ciel qui a préféré le bleu du saphir. Tous deux sont agités par le grand vent. Ainsi, les écumes blanches des vaguelettes font face en souriant aux petits moutons tout blanc.

Commentaires

  • Merci Marie pour ces couleurs (et odeurs partagées);

    quelle poésie et connaissance des mots...

  • que de bons moments, de jolies choses à regarder et à humer !

    bonne journée pleines de beautés

  • Merci pour ce délicieux moment, l'odeur des pommes , un vrai bonheur !
    Très belle journée

Écrire un commentaire

Optionnel