Se promener dans le village en fin de journée.
S’arrêter chez Baba Yaga. Y fureter un bon moment.
Repartir avec quelques bons polars.
Longer le quai.
S’arrêter à La Galerie. Y fureter un bon moment.
Repartir avec Le cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates qu’on avait projet de lire depuis longtemps.
Dire « A mercredi », car on a commandé des livres. Encore.

Lire dans une interview de Seiji Ozawa cette belle phrase, si vraie : « Face à la souffrance, la musique est impuissante et nécessaire ».