Charles Juliet avait publié en son temps un livre intitulé : Ces mots qui aident à vivre.
Voici une belle phrase, lue dans la correspondance entre Vita Sackville West et Virginia Woolf : « Il y a si peu de choses qui se perpétuent comme des phares : la poésie, et toi, et la solitude. »
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9 juin 2011. Lire une belle phrase.
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20 février 2010. Lire
Après une journée pleine de rumeurs et d’humeurs, d’allers et venues, de mistral glacial, rentrer chez soi.
Tout est calme. Tranquille. Rangé. Serein.
Aller chercher le journal dans l’entrée.
Fermer les rideaux de la chambre.
Allumer les lampes bleues et blanches.
Poser un plateau sur le lit : un bon thé rouge, quelques crakers.
Prendre quelques volumes de poésies : Emerson, Emily Dickinson, Keats, St John Perse.
S’installer.
Accueillir, ravie, les chats qui se lovent bien au chaud.
Et lire jusqu’à une heure avancée de la nuit, sans qu’il y ait un seul bruit tout autour.