Le matin, poursuite de la relecture du Journal d’Anne Frank et écriture à son propos. « Les gens libres ne pourraient jamais concevoir ce que les livres représentent pour les gens cachés. Des livres, encore des livres, et la radio. » (1) ; l’ode au stylo… (2)
Dans le sac à main, le journal quotidien et le carnet d’écriture.
Le soir, L’or du temps, de François Sureau ; un gros livre de près de 900 pages, qui se lit lentement, est magnifiquement bien écrit, pèse aussi son poids de culture, fait réfléchir, fait découvrir, donne envie de marcher tout autant que de rester chez soi à lire et à écrire.
Prochaines lectures :
Camille Pascal : La chambre des dupes
Jules Supervielle : Le forçat innocent suivi de Les amis inconnus.
(1) Anne Frank, Journal, Ed. Livre de Poche, n° 287, 1970, p.101
(2) Id, page 129
l'or du temps livre de poche
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Livres du matin / du sac à main / du soir.