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Beethoven, Arthur et Arturo.


Un matin très tôt, alors qu'on allume la radio, on tombe le Concerto n°3 de Beethoven. Si on reconnait tout de suite le concerto, on hésite sur l’interprète. On s’arrête alors sur un parking pour être tout à l’écoute. Ce doit être Rubinstein. Oui, ce doit être lui car on sent que le pianiste n’est pas un exécuteur de notes mais l’interprète d’un souffle. Une fois le morceau fini, on annonce qu’il s’agit d’un extrait de concert de 1945, avec Toscanini au pupitre et… Rubinstein au piano.
Quand on reprend la route, on réécoute le morceau dans la version de Clara Haskil. On a le temps pour Emil Gilels. On réécoutera Rubinstein ce soir.

Commentaires

  • Bonjour très chère amie :-)

    Merci pour cette leçon de grande musicalité :-)
    Je cours chercher trace de tout cela sur le web pour m'enrichir et faire de belles découvertes musicales :D

    Lumineuse journée chère et tendre amie irremplaçable (émoticoeur)

  • La musique ressource tellement... Bon Week-end à vous

  • Merci Bonheur du jour pour ce beau billet musical sur votre parcours tôt partis.
    Beau week-end avec mon amitié ♥

  • Chapeau pour l'oreille ! J'en reste baba...
    Beau dimanche.

  • Une belle invitation à écouter l'âme singulière de ces trois "souffles"
    Merci

  • Un interprète absolument génial.
    Merci pour ce moment musical.
    Passez une douce journée.

  • je ne suis pas capable non plus de façon certaine de dire le nom de l'artiste, et même parfois je me trompe dans les numéros de concertos, mais qu'importe parce que mon plaisir est bien là alors basta pour la mémoire

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