Hier matin, séance dédicace à la librairie Charlemagne de La Seyne. Deux belles heures pendant lesquelles les rencontres ont été nombreuses et les échanges chaleureux. Merci à F., V., N., E., MC., El., J., P., … à cette jeune femme repartie avec l’adresse de ce blog car en ce moment elle a besoin de soutien, à cette autre qui est arrivée avec « Aussitôt que la vie », lu il y a quelques mois et heureuse de pouvoir me rencontrer pour parler de la beauté de la colline provençale, et aux autres encore.
C’était un moment fort en raison du lieu, cette belle librairie Charlemagne, et parce que j’étais là avec mes livres, tout simplement heureuse.
Juste avant de partir de la maison, l’air fameux extrait de « L’élixir d’amour », Una lacrima furtiva, chanté par Pavarotti, a retenti à la radio. Maman aimait beaucoup cet air et j’y ai vu là le signe de sa présence à mes côtés, en cette veille de la fête des mères.
Bon dimanche à vous tous, mes chers fidèles lecteurs, qui me soutenez avec tant de gentillesse.

A Abeilles en Seyne installé au domaine de Fabregas, rencontrer et papoter avec des tas d’apiculteurs passionnés. Rencontrer aussi des membres de la LPO avec qui on discutera longuement du recensement en ville des nids de martinets qui sont en danger comme les chardonnerets, du caractère opportuniste de la pie, de la beauté du rouge-queue, etc.
Au retour, prendre le temps d’écouter le zzz des abeilles dans la vigne vierge et modifier l’abreuvoir dédié à ces dames en suivant les conseils reçus : mettre des pierres dans le petit bol qui sert d’abreuvoir ; le remplir d’eau de sorte que les pierres affleurent au niveau de l’eau ; ainsi les abeilles peuvent se poser sur les pierres et boire sans risque.
Il y a donc désormais dans la courette, l’abreuvoir pour les abeilles et celui pour les oiseaux. Mais comment indiquer aux abeilles lequel est à elles ? ….
Sinon, à noter : aujourd’hui 20 mai, c’est la journée des abeilles ; et les 25 et 26 mai, week end national de comptage des oiseaux.