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julien gracq - Page 2

  • Moisson.

    Rester un bon moment au rayon enfants de la librairie Charlemagne : on a envie d’offrir un livre qui fait rêver à une petite fille qui fête ses quatre ans déjà.
    Se voir offrir deux belles orchidées : une jaune, Promenea citrina et une mauve, Oerstedella Centradena, directement issues de la serre aux Orchidées.
    Profiter d’une après-midi pluvieuse pour terminer En sacrifice à Moloch, d’Asa Larsson qu’on avait commencé la veille au soir. Dans la pile en attente, prendre un autre livre pour le soir : Une colonne de feu, de Ken Follet.
    Ramener du marché de gros artichauts violets, aussi beaux qu’un bouquet de fleurs.
    Ramasser un morceau d’écorce de platane pour en faire un marque-page.
    Contempler la mer.
    Constater que la vigne vierge commence à sortir de son engourdissement de l’hiver.
    Ecouter une belle série d’émissions sur Julien Gracq diffusées sur France Culture.

  • Moisson.

    Apporter un pot de marmelade d’oranges à une vieille amie qui a donné des pots vides sans compter.
    Admirer l’amaryllis qui se dresse fièrement et laisse deviner, sous un léger renflement, les prochains pétales.
    Passer la soirée à relire quelques passages de En lisant en écrivant, de Julien Gracq.
    Offrir le Prix du Quai des Orfèvres 2018.
    Terminer de tricoter une première paire de chaussettes.
    En prévision des prochains envois de cartes de vœux, trier les cartes restantes des années précédentes et aller faire provision de nouvelles cartes.
    Recevoir une lettre rouge, aux couleurs de Noël : c’est la première carte de vœux de l’année. On la pose sur la vitrine.
    Préparer le repas du partage : soupe de légumes, poulet rôti, haricots verts et pommes de terre, tarte aux pommes.
    Regarder tomber la neige.
    Racheter des emporte-pièces pour pouvoir refaire des petits biscuits.
    Parler longuement avec quelqu’un qui, aussi, craint cette période de Noël, pour tenter de l’apaiser un peu.