« Etre dehors assez longtemps pour que le contact avec une saine réalité serve de lest à la pensée et au sentiment. La santé exige ce relâchement, cette vie sans but. La vie dans le présent. Qu’un homme, dans la maison, pense ce qu’il veut de la nature ; au–dehors, elle lui paraîtra toujours nouvelle. Je reste en plein air à cause de l’animal, du végétal, du minéral qui sont en moi » (Journal, 4 novembre 1852)
« Je rêve d’un peuple qui commencerait par brûler les clôtures et laisserait croître les forêts » (De la marche).
croître les forêts
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25 novembre 2012. Passer la soirée avec Thoreau.