Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

être dehors

  • La question du lundi : marcher.

    A la fenêtre, le matin, il y avait un rideau de pluie. On est donc resté à l’intérieur pour vaquer aux occupations diverses.
    Mais, en début d’après-midi, le temps s’est remis.
    Hop, on s’est préparé, et on est sorti.
    On a marché longtemps. Le long de la mer tout d’abord, et on a rejoint les bois au-dessus de St Mandrier. La terre y était souple, et les arbres parapluie.

    Et vous, aujourd’hui lundi, demain mardi, et les autres jours aussi peut-être, allez-vous pouvoir marcher ? ou si ce n’est possible, être dehors ?

  • 25 novembre 2012. Passer la soirée avec Thoreau.


    « Etre dehors assez longtemps pour que le contact avec une saine réalité serve de lest à la pensée et au sentiment. La santé exige ce relâchement, cette vie sans but. La vie dans le présent. Qu’un homme, dans la maison, pense ce qu’il veut de la nature ; au–dehors, elle lui paraîtra toujours nouvelle. Je reste en plein air à cause de l’animal, du végétal, du minéral qui sont en moi » (Journal, 4 novembre 1852)

    « Je rêve d’un peuple qui commencerait par brûler les clôtures et laisserait croître les forêts » (De la marche).