Comment ne pas avoir envie de partager ce poème d’Edith Bruck qu’on vient de lire dans L’Hebdo de La Croix ? Il porte la vie, il la porte haut :
On a encore le temps
tous les espoirs
ne sont pas perdus
qui a aimé
laisse toujours quelque chose.
Edith Bruck : Pourquoi aurais-je survécu ?
Traduction de René de Ceccatty, Rivages Poche, 128 p.
edith bruck
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Un poème pour la journée.