Aller vers Fabrégas. Les cigales chantent à tue-tête. On les entend bien sûr tout le temps depuis le début de l’été (ici, c’est le chant des cigales qui le signale, faisant fi du calendrier). Mais sur ce chemin touffu d’arbres, il semble que ce ne serait pas très gentil de passer sans s’arrêter pour les écouter. Pendant cette pause, on les cherche du regard ; il paraît que les voir est un porte-bonheur. Mais les coquines se dissimulent.