« Notre vie se contracte et se dilate en fonction de notre courage », Anaïs Nin.
On a trouvé cette phrase toujours dans L’effet télomère au moment où l’auteur évoque les effets positifs sur le cerveau et la longueur des télomères de l'engagement pris par un groupe de personnes retraitées de s’occuper bénévolement, quelques heures par semaine, de jeunes en difficultés.
Anaïs Nin. On avait lu cette auteure il y a des dizaines d’années quand son journal avait été édité, ou réédité.
Le courage. On aime cette qualité. On aime la retrouver chez ceux qu’on côtoie. Si on suit les propos d’Anaïs Nin, on se tient dans une belle posture, droite et vaillante, quand on a du courage.
Mais dans notre monde actuel, cette valeur est-elle mise en avant ?
Ici, dans la maison au milieu du vent, on a écrit ce mot sur un petit carton, courage, et on l’a posé sur le bureau, contre le pied de la lampe.
le courage
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Une phrase à méditer : le courage.
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Un week end où on prend son temps. 3.
Prendre le temps d’aller rendre L’Ile du point Némo à la médiathèque et de parler avec les bibliothécaires pour dire que c’est un super bouquin.
Prendre le temps de longer la mer et d’aller jusqu’au Gaou regarder les flots frapper la roche et tout éclabousser.
Prendre le temps de passer chez l’Italien acheter de la charcuterie pour le repas du midi puisqu’on a décidé de manger sur le pouce.
Prendre le temps de faire la sieste.
Prendre le temps de terminer les dernières aventures de Nicolas Le Floch : La pyramide de glace.
Prendre le temps de raccommoder la chemise de nuit brodée de sa vieille mère et de la lui rapporter parfaitement repassée.
Prendre le temps d’aller lire les journaux de la semaine au café.
Prendre le temps de préparer des croque-monsieur parce qu’on aime bien dîner, le soir, le week end, devant la télévision.
Prendre le temps d’épousseter une étagère de la bibliothèque.
Prendre le temps de lire à voix haute à quelqu’un quelques extraits du livre d’Osho : Le Courage.
Prendre le temps, tout en préparant des aumonières aux pommes, réfléchir à cette phrase extraite du même livre : « Si vous pouvez donner, il n’y aura pas de mort. »