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réparons le monde

  • Pouvoir faire au mieux avec les petits moyens qu’on a.


    En pensant à la baleine échouée sur une plage des Landes et dont le ventre contenait 16 kg de plastique, décider d’aller encore plus loin dans la limitation de l’usage de ce plastique.
    Déjà, depuis longtemps,
    - on fait les courses avec plusieurs sacs en tissu et bocaux en verre
    - on n’achète plus de bouteilles d’eau en plastique
    - on n’utilise plus de lessive en capsules
    - on n’utilise plus de film plastique pour emballer des restes
    - on n’achète plus de fromage râpé tout prêt en sachet mais un morceau, au rayon fromagerie, qu’on râpera à la maison
    - on limite l’achat de ce qui est emballé dans du plastique et qu’on trouve généralement au rayon « frais », par exemple on choisit les yaourts (on en consomme très peu) dans des pots en verre, on n’achète jamais des pommes ou du concombre ou des endives, sous film plastique.
    Mais quand même, du plastique, on en utilise…
    Maintenant, on va tenter de trouver une solution
    - pour la mozzarella, présentée toujours dans un contenant en plastique, soit sachet, soit pot, pour la fêta, toujours sous film plastique, pour le fromage blanc dans son pot en plastique
    - pour le papier toilette, certains paquets de pâtes alimentaires emballés sous film plastique
    Bref, on se lance dans l’opération baleine. Il faut dire qu’en plus on vient de lire Réparons le monde, de Corinne Pelluchon. Hop ! on retrousse les manches pour faire au mieux avec les petits moyens qu’on a.