Passer la soirée à lire Avec Tolstoï, de Dominique Fernandez dont on interrompt la lecture pour aller ressortir les livres de Tolstoï qui sont dans la bibliothèque ; relire le début de La guerre et la paix, d’Anna Karénine, de Résurrection, de La sonate à Kreutzer, d’Enfance, … Il en manque, il faudra les retrouver ou les racheter.

En passant devant la plage, se demander comment est l’eau de la mer. Froide ? Très froide ? Glaciale, car il a fait si froid ces derniers jours ? Pourquoi ne pas y aller voir ? S’approcher, poser les paumes bien à plat sur le tout bord que le léger ressac fait à peine aller et venir. L’eau est froide. Le bout des chaussures est un peu mouillé, tant pis. La prochaine fois, on les enlèvera.


A lundi !

On avait noté il y a quelques temps déjà un petit passage du livre d’Anselm Grün, L’art du silence. Moine, Anselm Grün évoque la mort et la résurrection du Christ. Ces quelques lignes peuvent malgré tout parler à tous :

« (C’est) le signe qu’en nous, tout peut se transformer : la paralysie en vivacité, l’obscurité en lumière, l’immobilité du tombeau en une énergie puissante qui nous remet debout, l’échec en un nouveau départ. » (page 107).