Prendre le temps de s’assoir sur un banc, au soleil, parce qu’on a envie de se poser un peu.
Rester là tranquille, un moment, avant de reprendre son chemin ; sans forcément penser à quelque chose ; en laissant simplement le regard aller et venir, comme ça.
Commentaires
Des moments exquis...
Ici aussi le soleil a été très généreux et il est si doux en hiver!
Bonne soirée à vous.
Après quelques jours de froid, la douceur est revenue. Quelle chance d'avoir du soleil en plein hiver.
Bonne journée.
Oh qu'il nous manque ce doux soleil!!! Du bon temps tout relaxe, c'est super! Bise et bon dimanche tout en douceur!
Bonne journée !
Voilà un confetti de bonheur !
Ici , le banc aurait été humide pour s'y asseoir.
Quelle jolie expression ! Merci.
Bonne journée.
j'ai choisi une chaise dans le jardin pour regarder le ciel sans nuage
C'est bien aussi, une chaise dans le jardin.
Bonne journée.
Très agréable moment sous le soleil, une pause sur un banc et se laisser surprendre par le temps...
Mettre tout entre parenthèse, un moment. Ouf.
Bonne journée.
hmmm ce n'est pas aussi simple que ça en a l'air, ne penser à rien :-)
joli moment!
Cela s'apprend.
Bonne journée.
Un moment vital! Mais pas évident de bloquer les pensées. C'est comme pour la méditation.
Cela s'apprend, de se poser et de ne penser à rien. Et cela fait du bien. Un moment chaque jour pour moi.
Bonne journée.
Laisser flâner ses idées et s'en trouver bien !
Amitié .
Cela revigore.
Bonne journée.
Peut-être avoir eu envie de se poser après cette démarche difficile ? J'espère que vous avez trouvé un peu de réconfort....Je le souhaite.
J'aime ces moments, assise, regarder et ne penser à rien et laisser le soleil caresser le visage. C'est cela le bonheur.
C'est important de pouvoir se poser et ne plus être entraînée dans le chaos du monde.
Bonne journée.
J'ai appris hier qu'en faisant cela, on faisait de l'auto hypnose ! Le meilleur moyen pour se reposer l'esprit.
Bonne semaine
Ah, je ne savais pas.
Je prends souvent ce temps là, de me poser sur un banc, dehors. Et chaque jour, un temps pour moi, le soir ou le matin, pour me ressourcer.
Bonne journée.
C'est exactement ce que je faisais.
J’étais là, tranquille. Assis sur un banc. Oui, c’est ça. J’étais assis sur un banc, dans un parc. Je ne me souviens plus du nom de ce parc, mais c’était un parc. Et j’ajouterai pour les inquiets, les soucieux, les tourmentés, les insatisfaits et les perfectionnistes que le nom du parc n’a absolument aucune importance pour la bonne compréhension de ce qui va suivre. Non, les causes de l’incompréhension seront beaucoup plus profondes. Croyez-moi sur parole. Mais, je n’en dis pas plus à ce stade (Je viens à peine de commencer) pour préserver le suspens de cette histoire qui, je l’avoue bien volontiers, est assez insoutenable. Le suspens, pas l’histoire.
Quoique.
Donc, j’étais là, assis tranquillement, en train de fumer, lorsque… Non, je ne fumais pas. Cette aventure (Car c’en est une. Hou ! La la, oui.), cette aventure, dis-je, m’est arrivée il y a un mois ou deux et voilà quinze ans que je ne fume plus. Donc, je ne fumais pas. C’est impossible. Des fois, je vous jure. Enfin, c’est ainsi et je n’y peux rien.
Où en étais-je ? Si vous cessiez de m’interrompre à tout moment, j’aurais plus de suite dans les idées. Ah, oui. Je ne fumais pas (évidemment), je lisais. Ou, plus exactement, je tenais un livre à la main. Non, ça, je ne lisais pas. C’est impossible. D’ailleurs je ne sais plus lire depuis quelques jours, mois, années. Enfin, depuis pas mal de temps. Je ne sais plus exactement. Et je me demande encore pourquoi je tenais ce putain de livre. Parce que pour un putain de livre, c’était vraiment un putain de livre. Incompréhensible. Enfin.
Donc, charmantes lectrices et lecteurs perspicaces, je pense qu’à présent, vous situez bien la scène, le banc, le parc, le (putain de) livre… Je vous ai brossé le décor, faute de mieux. Je continue.
Dans toute cette histoire, la seule chose absolument certaine (quand j’y repense), c’est que j’avais l’esprit ailleurs. La tête dans les étoiles, si vous préférez. Ce terme est plus approprié car je pensais précisément à ces astronautes que l’on entraîne actuellement en Russie et aux zussas pour voyager dans l’espace. Imaginez qu’on les entraîne pour vivre plusieurs années dans l’espace ! Si, si, il faudra plusieurs années pour aller sur Mars. Moi, j’y étais déjà.
Pour faire court – j’en vois qui baillent – mon cul était sur le banc mais ma tête était sur Mars. Et si quelqu’un me parle ici du champ de Mars, je le sors ! Faut suivre un minimum, car c’est là que l’inimaginable s’est produit. Tenez-vous bien.
Une personne est venue s’asseoir près de moi et m’a demandé qui j’étais.
Inouï. Je vous avais prévenu.
Evidemment, j’étais très absorbé. Contrairement aux apparences, j’étais très loin du banc. Je n’ai pas vu arriver cette personne. Elle m’a eu par surprise. Je ne sais pas non plus combien de fois elle m’a posé la question avant que je l’entende. J’étais vraiment très très loin. Toujours est-il qu’à un moment donné j’ai distinctement entendu « Qui êtes-vous ? ».
J’en vois plus d’un qui écarquille les yeux et n’en croit pas ses oreilles, mais je jure que je n’invente rien. Ca s’est passé exactement comme ça et je ne fais présentement que brandir la torche de la Vérité.
D’ailleurs, vous dire que cette personne, en me posant la dite question, me serra la main, serait demeurer bien en dessous de la Vérité. Il fit de ma main je ne sais quelle purée sanguinolente.
Bien qu’il fût un peu plié en zigzag sur le banc, je lui prêtai bien deux mètres avec les intérêts qui vont avec. Oui, certainement plus de deux mètres drapés dans une longue blouse blanche qui lui arrivait jusqu’aux pieds. Et encore, je ne suis pas sûr que vous appelleriez cela des pieds. On avait l’impression que la Nature avait eu l’intention de faire un gorille et avait changé d’avis au dernier moment.
Mais attention, en vous décrivant cette personne comme un gorille, vous allez peut-être penser à un gorille de taille normale. En fait, j’avais là, assis à côté de moi sur le banc, le modèle super-économique.
Il interrompit donc mes rêveries avec cette brutalité grossière qui est la caractéristique principale des gorilles humains.
Je dois également sacrifier sur l’autel de la Vérité que cette personne avait dans son regard un pouvoir hypnotique aux effets apaisants.
Je ne vous cacherai pas, en effet, que dans un premier temps (très bref) j’ai été pris d’une forte envie de lui faire passer la colonne vertébrale à travers son chapeau, mais j’ai senti dans son regard que mon tonnage était tout à fait insuffisant pour me permettre de le défier et que mes organes internes étaient susceptibles de se transformer rapidement en macédoine ou en hachis parmentier.
J’ai par conséquent décidé de lui répondre, d’autant plus que j’avais toute liberté pour lui répondre simplement ou philosophiquement. C’était au choix. J’ai immédiatement opté pour la simplicité et je lui ai dit « Qui êtes-vous vous-même ? ».
Il m’a dit qu’il était l’infirmier et qu’il me ramenait à l’asile.
C'est trop drôle.... A mon avis, on m'y emmènera aussi, à l'asile, un jour !
Bonne journée.
Accepter d'être disponible pour ce qui se passe autour de soi, sans jugement, simple contemplation. Je prends.
L'année va être belle !
Je le souhaite aussi sincèrement.
Bonne journée.
Je ne suis pas sur un banc mais sur un fauteuil de bureau, actuellement, mais cela ne m'empêche pas, au contraire, de te souhaiter une excellente année 2015 !
Vous êtes au travail ? et vous prenez le temps de venir par ici ? Comme c'est gentil !
Bonne journée. Et très bonne année.
Je rêve de ce plaisir simple. Bonne Année.
Je suis sûre que vous pouvez le prendre. Peut-être pas un banc, mais une souche d'arbre, ou un muret.
Bonne journée.
Avoir le temps de s'assoir sur un banc .... un plaisir simple mais un luxe... Avoir le temps ! Bonne journée.
Un luxe, oui.
Bises et bonne journée.
Mille mercis de votre message sur mon blog. j'aime beaucoup le principe du votre, et l'approche que vous avez des petits bonheurs simples qui ne nous aveuglent pas, mais qui sont là, essentiels, comme les taches de soleil dans un tableau. Merci et très bonne année à vous.
Marie-Paule
Merci de cette visite en retour. C'est gentil. A bientôt j'espère ?
Bonne journée.
un programme qui me convient mais hélas il manque le soleil
J'ai cette chance d'habiter une petite ville où on compte, paraît-il, 300 jours d'ensoleillement par an...
Bonne journée.
J'aime beaucoup m'asseoir sur un banc face à la mer et simplement écouter le bruit du ressac ou recevoir quelques gouttes écumées sur le visage, oui sans penser à rien, c'est extra.
je te souhaite une bonne année remplie de bonheur et de santé.
Merci de ce gentil commentaire.
Bonne année également et à bientôt.
Mmm... et sentir la douce caresse de l'air sur le visage, l'odeur des feuilles mouillées qui s'ébrouent au soleil, la lumière de celui-ci qui recharge la batterie! Vite un banc, que je m'asseye!
Il y a toujours un banc quelque part.
Bonne journée !
Quelque chose que je pratique souvent
Peut-être un jour nous nous assiérons sur le même banc ?
En attendant, bonne journée !
Merveilleuse idée, j'aime faire ça parfois et je trouve d'ailleurs que les bancs manquent souvent...
J'aime bien les bancs. Mais quand il n'y en a pas, je trouve toujours un petit muret, ou une souche de bois...
Bonne journée.
C'est ce que j'aime faire ! belle fin de journée !
Bises !
"S'il est un lieu qui échappe à la tourmente, c'est le banc" Laurent graff , Les jours heureux.
Je ne connais pas cet auteur. Il a raison, je trouve. Merci et bonne journée.
Tendre son visage vers les rayons tièdes et ne pas compter son temps ! un vrai bonheur !!! :-)
Il faut savoir être hors temps parfois.
Bonne journée.
Hello ... Tous mes Voeux de Bonne Année et de Bonne Santé pour 2015 !!!
Bisous, Douce semaine
Merci beaucoup ! Bonne année à vous aussi et à très bientôt.
Savoir s'arrêter pour profiter de ce qui est autour de nous et du soleil, un petit bonheur que l'on ne prend pas assez le temps de vivre
Très belle journée et à bientôt
Bise
On devrait pouvoir faire cela chaque jour !
Bonne journée.
Oui, c'est bon de s'asseoir. Lorsque l'on trouve le temps et l'endroit au même moment. Parce qu'il y a souvent un parque mètre ou quelque chose d'autre, quelqu'un d'autre qui attend. Mais tu as raison les bancs ne sont pas là que pour les papis-mamies !
Ce serait bien de pouvoir vivre sans être tout le temps pressé.
Bonne journée !
J'aime ces instants. Je le fais parfois dans Paris. Je regarde les gens passer, je m'imprègne de l'atmosphère.
J'aime aussi Paris pour cela.
Bonne journée.
Le soleil d'hiver, quel bonheur !
Là où j'habite, il est souvent présent... 300 jours d'ensoleillement par an.
Bonne journée !
Oui, c'est un plaisir gratuit que j'affectionne particulièrement . Douce année 2015 à vous et à vos proches, malgré ce début extrêmement douloureux. Bien à vous