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  • Le butin de la balade.

    A l’aller, sur la route de Fabrégas, on se délecte des arbres en fleurs qui tendent leurs branches vers le ciel car il est bon de danser quand c’est le Printemps. Par ci par là, en sinuant sur la route, on se rapproche de quelques fleurs pour les respirer ou les observer.
    Au retour, on cueille :
    des pissenlits
    des fleurs jaunes dont on ne connaît pas le nom
    une petite branchette de genêt
    une autre de romarin.
    Coupant par le Fort Napoléon, on aperçoit alors des freesias dont le jaune d’or ferait pâlir le moindre lingot. Ils sont cinq. Ils ont poussé en rond, serrés les uns contre les autres. On s’approche. On se penche vers eux en révérence et on les hume. On en prend un. Un seul car qui sait le nombre de promeneurs qui passera par-là ensuite.