Encore une petite maraude de mimosa, à deux pas de la maison.
Une promenade tranquille au Fort Napoléon et de là-haut regarder le paysage installé autour de la mer et du ciel et inondé de ce soleil de janvier tellement limpide.
Constater encore une fois que dans les relations humaines, il est plus facile de juger que d’aimer mais ne pas en ressentir de l’inquiétude pour soi-même (un peu bien sûr pour celles et ceux qui sont atteints du syndrome de la malveillance et celles et ceux qui en sont victimes) car il est l’heure d’aller dans le bureau s’installer pour écrire : on ne peut plus être écarté de son propre chemin.
fort napoléon
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Petite maraude de mimosa, Fort Napoléon, soleil de janvier, sur son propre chemin.
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Moisson.
S’inscrire à la Bibliothèque pour tous et, après avoir fureté dans les rayons, repartir avec un roman de Pierre Lemaître et de nombreux projets de prochains emprunts.
Aller marcher au Fort Napoléon et écouter les arbres dans le vent.
Faire les premiers biscuits de Noël au chocolat.
Apporter deux bocaux de soupe encore chaude à une amie fatiguée et des pommes au four.
Défaire un nœud : progresser dans l’acceptation que les choses ont changé et qu’il faut faire autrement.
Faire de la place sur le petit guéridon pour les cartes de vœux.