Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Moisson.

Marcher tout le long de la plage, pieds nus dans l’eau claire, bas de pantalon retroussés, en tenant ses chaussures à la main.
Sentir le vent.
Sentir le soleil.
Regarder les montagnes, l’horizon, le ciel.
En rentrant au petit hôtel, penser à Mozart, celui qui ne fut jamais la proie du désespoir, écrivant et jouant ses sonates, comme la 17, par exemple.
Se sentir libre.

Commentaires

  • Les pieds dans l'eau, je crains de les avoir cet après-midi, mais elle ne sera pas salée.

  • Allegro, chère Marie, c'est le mot qui me vient à l'esprit
    en vous lisant ce matin :
    le vent, le soleil, le ciel...et même l'essentiel, ne trouvez-vous pas ?

  • Bonjour,

    Votre moisson est contagieuse : j'écoute à présente la 17, les yeux mi-clos, et mon cœur sautille pieds nus jusqu'à la mer. Sentir le vent et le soleil quand il ne sont pas là, c'est se sentir doublement libre.

    Je vous souhaite une très belle journée.

  • Je ferme les yeux.....je sens la fraîcheur de l'eau sur mes pieds nus, la caresse du vent sur mon visage, j'entends la musique de Mozart... je souris. Merci Marie pour cette échappée au paradis.
    Amitiés

  • Je ferme les yeux......une échappée au paradis.

  • Un moment certes agréable (pour ceux qui ont la chance de jouir d'un tel environnement.). Mais je n'irais pas penser à ce genre de sonate en un tel moment ! De même, à chacun son environnement musical de prédilection... Cette petite sonate a quelque chose de primesautier qui peut sembler juvénile, mais quel rétrécissement pour un cadre si somptueux ! Je pense que l'on a tout simplement en tête ce qu'on a écouté récemment - ici pour toi avec une teinte de gaieté.

  • Quelle sonate de Mozart conseilleriez-vous pour aller avec le cadre de cette promenade que vous semblez avoir reconnu ? La sonate 17 est une de mes préférées et elle m'est revenue à l'esprit sans que j'ai eu à la réécouter depuis un moment. Vous avez raison : elle est juvénile et c'est certainement cela qui me plait.
    Bon dimanche !

  • Non, je voulais juste dire que que Mozart, et de plus au piano seul, n'exprime pas l'ouverture du coeur que je pourrais ressentir devant un tel paysage ; mais Mozart n'est pas un compositeur que j'écoute fréquemment, ma préférence allant aux compositeurs du 20e siècle et de la fin du 19e. Je disais donc qu'il est naturel que vous revienne en tête quelque chose que vous avez écouté récemment, et si vous avez coutume d'écouter Mozart, ce sera lui évidemment. Dans le même style, notre "Mozart" du 20e siècle, ce pourrait être Francis Poulenc, dans son concerto pour 2 pianos ; ou du Ravel - pour piano seul, (ou orchestre) une Barque sur l'Océan, etc.... Mais en ce moment je suis folle de Respighi (le Respighi méconnu : le concerto pour violon "grégorien", le concerto pour piano en mode mixolydien - mais il y a aussi "les pins de Rome")...

  • Libre et vivant !
    Doux w-e Marie, bisous, câlins ensoleillés

  • Exquis moment partagé. Voici la fortune, ce moment intense. Bises

  • La dix-septième... je connaissais bien celle de Beethoven, je découvre celle-ci grâce à toi.
    Merci pour ce moment musical.
    Passe une douce journée.

  • Merci pour cette merveilleuse moisson, il ne me manque que la mer.
    douce journée.

  • J'adore marcher pieds nus dans l'eau...
    Belle journée

  • Tout y est ! Si belle partition estivale !
    merci Marie.

  • La nature, Mozart...le bonheur !

  • Que voilà de douces choses et comme Mozart les accompagne bien!

  • c'est fou ce que la nature nous offre de libertés !
    amitié .

  • Les pieds dans l'eau ibérique, juste ne face de l'hôtel, ce sera pour nous dès la semaine prochaine. Nous avons faim de vrai soleil et pourquoi pas, nous écouterons Mozart pour faire vibrer le moment, en esquissant quelques pas dansants au rythme du ressac.

Les commentaires sont fermés.