Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Le petit garçon de Nagasaki


    Je le fais rarement, mais en ce jour du terrible anniversaire du bombardement atomique d’Hiroshima, le 6 août 1945, suivi le 9 août du bombardement de Nagasaki, je partage avec vous l’émotion ressentie lors de la diffusion d’un reportage sur Arte à propos des orphelins de Nagasaki (lien).
    Je rends hommage tout particulièrement à ce petit garçon, mais aussi aux enfants, tous les enfants qui, de tout temps à jamais
    sont les victimes de la « sauvagerie » (1) de ceux qui se croient tout-puissants
    portent, comme ce petit garçon son frère ou sa sœur, les fardeaux de l’horreur dont est capable ce monde
    perdent, même survivants, le « simple bonheur » (1) de vivre aimés et protégés comme ils auraient dû pouvoir le faire.

    Je suis certaine qu’il faut, plus que jamais, porter haut les valeurs de l’humanité, en étant déjà soi-même, à sa toute petite échelle du quotidien, un espace de paix.





    (1) Camus, Editorial de Combat, 8 août 1945.