Ecouter le Requiem de Fauré qu’on aime tant. En particulier, bien sûr, deux passages préférés : Libera Me et In Paradisum.
Relire quelques vers de Virgile dans la belle traduction de Frédéric Boyer qu’on a pris l’habitude d’avoir toujours sous la main. « A toi d’admirer les choses minuscules » (1).
Marcher le long de la mer puis s’enfoncer dans la forêt et y respirer le parfum des pins gorgés de chaleur.
Préparer de la soupe et en apporter à quelqu’un qui sort de l’hôpital.
Ecrire.
(1) Virgile, Le souci de la terre, nouvelle traduction des Géorgiques par Frédéric Boyer, Gallimard, 2019, p. 207.
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Moisson.
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Livres du matin / livre du midi / livre du soir.
Le matin, Petit éloge des brumes, de Corinne Atlan, Ed. Folio, dont on avait beaucoup aimé Un automne à Kyoto. Merci Tania !
Le midi, Virgile, inépuisable. « Vous très lumineuses lumières du monde ». (1)
Le soir, Le dévouement du suspect X, de Keigo Higashino après le régal de La fleur de l’illusion et avant La prophétie de l’abeille.
(1) Virgile, Le souci de la terre, nouvelle traduction des Géorgiques par Frédéric Boyer, Gallimard, 2019, p. 54