Se lever tôt, très tôt, et boire le café sur la terrasse en regardant le ciel.
Nager.
Préparer des poivrons à l’huile.
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Brosser les chats.
Trouver dans un autre coin de la cour une autre ipomée qu’on transplante près de la première. Les arroser délicatement toutes les deux.
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Après un premier appel de la Médiathèque pour annoncer la disponibilité de Quelques grammes de silence, en recevoir un autre pour celle de Une très légère oscillation, de Sylvain Tesson, qui devient le livre de la journée.
Faire le ménage en grand.
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Ecrire six pages.
Aller faire le marché sur le cours Lafayette. Déjà les premières figues.
Préparer des tomates à la provençale, bien aillées, bien poivrées, bien huilées.
Récupérer des tas de pelotes de laines, d’aiguilles et de crochets laissés par quelqu’un de très généreux. Tout ramener à la maison pour trier et prévoir les prochains ouvrages.
Faire une partie de mikado.
Couper des feuilles de menthe pour préparer une tisane qu’on boira froide afin de se désaltérer quand on part marcher.
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Ne rien faire.
Marcher pieds nus sur le sable.
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Moisson.
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Sur le quai.
Sur le quai, s’asseoir au soleil et ne rien faire. Les bateaux bleus vont et viennent. Des gens passent. Des gabians crient en volant. Quelques drisses se balancent et chantent.