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coccinelles

  • Il y a toujours quelque chose qui cloche, coccinelles, Gustav Mahler.


    Méditation : On ne peut pas atteindre la perfection, car il y a toujours quelque chose qui cloche. Ce qui compte, ce n’est pas tant de comprendre qu’on ne peut pas atteindre la perfection que d’accepter qu’il y ait toujours quelque chose qui cloche, et que c’est pour tout le monde comme ça. Il y a toujours un temps de décalage entre le moment où on comprend et celui où on accepte. L’acceptation libère de bien des tourments car elle est souvent accompagnée de la lucidité dont on a tant besoin.

    Contemplation : Deux coccinelles sur les branches de fenouil.

    Ravissement : La 1ère symphonie de Gustav Mahler.

  • Glaner et cuisiner le feuillage du fenouil, compter les coccinelles, plage de Pellegrin.


    Glanage : couper quelques feuillages de fenouil pour les cuisiner avec des pâtes. Après les avoir lavés, les mettre au fond d’une sauteuse avec quelques amandes et un peu d’ail et les faire revenir. Une fois les pâtes prêtes, mélanger le tout et arroser légèrement d’huile d’olive et d’un tout petit peu de l’eau de cuisson. Servir aussitôt.

    Emerveillement : compter six coccinelles au potager et récolter trois courgettes.

    Emerveillement bis : Se baigner puis pique-niquer puis se baigner puis contempler l’horizon sur la plage de Pellegrin, déserte et ventée. Sur le chemin du retour, admirer aussi de ravissantes immortelles jaunes.