Le matin, Les braves gens ne courent pas les rues, un recueil de nouvelles de Flannery 0'Connor dont on admire l'oeuvre pour toujours. C'est un Folio emprunté à la Médiathèque.
Dans le sac à main, le journal quotidien et le Journal de prière de Flannery 0'Connor, aussi qu'on prend plaisir à lire le plus lentement possible, relisant certaines pages, reprenant au début, l'ouvrant au hasard ; d'ailleurs, ce livre n'a pas de marque-pages.
Le soir, Indian Creek, de Pete Fromm, le récit de tout un hiver passé seul par l'auteur dans les Rocheuses, et un roman policier, Les Soeurs Mitford enquêtent Le gang de la Tamise.
journal de prière
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Livres du matin, du sac à main, du soir
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Livres du matin / du sac à main / du soir.
Le matin, relecture du livre d’Ahmet Altan, Je ne reverrai plus le monde, en notant encore une fois, pp. 39 et suiv. le passage sur l’absence de miroir dans la prison : « Dans tout ce quartier de cages, on ne trouvait pas un seul miroir, ni bout de verre réfléchissant, pas la moindre surface brillante. (…) Il leur avait suffi d’enlever les miroirs pour nous éliminer. »
Dans le sac à main, Journal de prière, de Flannery O’Connor.
Le soir, allers et venues entre Les sœurs Brontë, de Laura El Malki qui cite en exergue une phrase d’un roman d’Anne Brontë, Agnès Grey : « Les liens qui nous attachent à la vie sont plus forts que vous ne l’imaginez », et Rendez-vous avec le mystère, de Julia Chapman, un roman policier mettant en scène deux détectives prénommés Samson et Delilah.