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La question du lundi : vous avez dit dimanche ?

Pour ceux qui ont la chance de ne pas travailler ce jour-là, le dimanche est vraiment un jour à part.
Il commence par ce silence du matin. Dans les rues, peu de circulation. Dans la maison non plus, car on traîne un peu. On a l’impression d’avoir un temps quasi incalculable devant soi. On peut faire plein de choses le matin : rien, tout d’abord ; faire la grasse matinée ; lire ; aller au marché ; faire la cuisine ; s’occuper des plantes ; raconter des histoires ; aller faire une balade à vélo le long de la corniche. Si on a invité des amis, on fait une belle table, on prépare un bon repas, on sort les jolies tasses à café. Si ce ne sont pas des amis, c’est la famille qui vient ou alors on y va. L’après-midi, on papote, on repart se promener. Si on reste tranquille à la maison, entre soi, on prend le temps de parler un peu, de faire des projets peut-être, de se reposer. Puis arrive le soir. Le dimanche soir est particulier. Pour certains, il est source d’angoisse car il faut préparer la reprise du lendemain, pour d’autres il est l’occasion d’un autre moment de calme dans le jour qui tombe. Pour le dîner, on a ses rituels : on finit les restes, par exemple ; ici, souvent, on fait des croque-monsieur. Après, on range tout car on sait que demain, le temps sera compté. Mais tout va bien car on a fait de cette journée une parenthèse.

Et vous, comment se passent vos dimanches ? Les aimez-vous ?

Commentaires

  • Quand je pense que la grande Juliette chantait "Je hais les dimanches"...

  • ou faire une eau de cologne aux agrumes et aux herbes ?
    Bises d'un lundi au soleil.

  • Même quand on est à la retraite comme moi, cela reste un jour particulier, comme s'il restait marqué par les rituels du temps où on était en activité professionnelle .
    Je me souviens aussi des dimanches en pension , ceux où je dévorais des bouquins , j'aimais cette immensité de temps devant moi .
    Bonne semaine à toi .

  • Ce n'est pas moi qui n'aime pas les dimanches...
    Ce sont les dimanches qui ne m'aiment pas.

    Non ce n'est pas tout à fait vrai.
    Le dimanche est devenu le jour où j'écris...

  • Perso, je n'ai jamais aimé les dimanches, pour moi, c'est un jour mort... Et c'est bien pour cela que je m'occupe à occuper ce jour comme les autres. Nous sommes rarement dispos le dimanche... Je prévois toujours des choses à faire, des gens à voir... Et du coup, les rares dimanches où rien n'est planifié, j'aime ne rien faire, c'est tout juste même si je m'habille... C'est alors des dimanches cocooning, télé et lectures!!!
    Dine avec Sandrine

  • Pour nous le dimanche rime avec brocante ! Ensuite farniente et le soir, un rituel depuis des années au dîner "Omelette / salade"
    Bonne semaine à vous

  • rares sont les dimanches particuliers ... c'est le septième jour de la semaine où tournent les machines, où le linge se range, les gens sont tellement occupés qu'on ne les voit pas, même les rues sont vides ... c'est dire ...
    les autres jours sont plus vivants ... je les préfère donc !
    amitié .

  • J'aime tous les jours de la semaine (je ne travaille plus à l'extérieur) et j'apprécie particulièrement le silence du dimanche... c'est un jour apaisé et apaisant. Bises Séraphine. brigitte

  • C'est vrai que le dimanche reste un jour à part. Tous les dimanches ne se ressemblent pas bien sûr, mais ils ne ressemblent jamais à un jour "classique" de la semaine.

  • Ne travaillant plus à l'extérieur, j'apprécie toujours les dimanches. C'est un jour relax. S'il ne tombe pas des trombes d'eau, une promenade est bénéfique. Le café du matin est indispensable puis ensuite tout se fait tranquillement.
    Douce fin de journée Bonheur du jour.

  • Les dimanches, même si je ne travaille plus, sont toujours synonymes de repos ou de doux moments partagés, à deux, avec les amis ou en famille.. C'est le dimanche que nous invitons nos amis ou bien que nous allons les voir. Les dimanches ont gardé un statut bien à eux. Belle semaine à vous, Bonheur du Jour.

  • J'avoue que je ne sais pas répondre à cette question... certains me plaisent, d'autre pas.
    Tout dépend de l'emploi du temps. :=)

  • Je reste traumatisée par de longs dimanches d'ennui en province lorsque j'étais enfant, et par l'angoisse du dimanche soir avant la reprise.
    Dans ma vie d'adulte, j'ai aussi eu souvent l'occasion de travailler.
    Depuis, j'essaie de me réconcilier avec ce jour particulier, mais difficilement.

  • quand on ne travaille plus on pourrait penser que c'est tous les jours dimanche et pourtant non, les habitudes on la vie dure et j'ai encore une petite sensation de libération quand je pense hum c'est dimanche !

  • Je n'ai jamais aimé le dimanche, car veille de reprise du travail. Maintenant, je suis en retraite et mon avis n'a pas changé.. oui, les restes pour le repas du soir, je crois que nous sommes beaucoup à faire ainsi .

  • J'ai lu un jour un article intéressant sur ce qu'on avait appelé, "le blues du dimanche soir" ... Peut-être que cela ne se sent pas maintenant, mais en automne... En hiver... Jeune, j'avais un peu le blues, parce qu'une semaine de travail intense s'annonçait : bureau ou école, école pour le conjoint et notre fils... Maintenant, les dimanches sont un peu longuets. Si les magasins sont fermés, (je ne fais pourtant pas tous les jours des courses), les musées, eux le sont, et après tout... Aller boire un café dans un musée, c'est toujours agréable. On est dans un autre univers.

    Mais le pire, ce sont les jours fériés : pas de magasins, pas de musées... Il faut "puiser dans son propre fonds" et cela peut donc devenir un jour pour du ménage, de l'écriture, de la lecture... Ou une bonne marche le matin, avec une amie (quand le temps le permet o:)))

    Déjà, du temps de l'école, le dimanche, c'était d'abord le jour du petit-déjéuner... Je me levais parfois avant tout le monde pour une bonne petite marche dans les rues d'Ixelles et j'allais chercher les "pistolets" (spécialité belge) ou les "couques" (des viennoiseries). Puis, longtemps, il y a eu la messe... Hum. Jusqu'au jour où j'y suis allée seule, à 5-7 heures, dans une église qui me plaisait plus (une ancienne, bien entendu), puis les travaux d'école. Et là, c'était gai. Je fermais les rideaux de ma chambre, j'allumais la lumière, et, à mon secrétaire, j'alternais rédactions, dissertations, poésie, journal intime et correspondance avec des amies françaises o:)))

    Et le lundi, tout recommençait.

  • ps. Je me suis trompée, le dimanche, les musées fédéraux sont ouverts, et même, le premier dimanche du mois, une centaine de musées sont gratuits... A Bruxelles et dans les autres villes. Pas mal comme initiative. Bien sûr, il y a aussi les matinées théâtrales, le cinéma, etc.

  • j'aime ce jour qui est une pause dans la semaine ; c'est vrai, en promenant le chien, moins de monde. Seulement un peu pressée, car je vais à la messe ... et quand il n'y a pas d'invités, je prépare à manger en rentrant. Le dimanche, je rencontre les paroissiens de mon quartier ; là, dimanche le prêtre fêtait son jubilé (50 ans prêtre), un couple dont lui porte le même prénom, visiteur de prison, elle, apprend la couture aux prisonnières, Il y avait des personnes d'autres églises de la cté de paroisse et nous avons partagé ensemble une boisson, un gâteau, un nems.
    L'après midi il faisait humide et froid, j'ai parcouru ma boîte mails (quinze jours de vacances, cela en fait des pages et des pages).
    Bises et merci de nous mettre dans ce jour dominical.

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