A la fin du tendre livre, La papeterie Tsubaki, d’Ito Ogawa, l’héroïne qui est devenue écrivain public à la suite de sa grand-mère disparue, prend conscience que la colère a dirigé une bonne partie de sa vie. Elle repense alors aux erreurs commises durant sa jeunesse ; elle s’en veut d’avoir fait telles ou telles choses ; d’avoir dit tels mots ou de n’avoir pas prononcé d’autres mots. Un homme qu’elle a rencontré lui dit : « Plutôt que de rechercher ce qu’on a perdu, mieux vaut prendre soin de ce qui nous reste. »
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Moisson.
Préparer des cookies aux flocons d’avoine.
Commencer à regarder les cartes de vœux qu’il faudra bientôt choisir et envoyer.
Terminer le devant du pull irlandais.
Poster le courrier : des enveloppes cachetées à la cire et affranchies avec de jolis timbres et non pas des vignettes obtenues à la machine automatique.
Faire découvrir à quelqu’un la pierre d’argent.
Après avoir lu La papeterie Tsubaki, ressortir la bouteille d’encre Herbin et le porte-plume.
Apprendre à reconnaître le pistachier térébinthe et à le distinguer du pistachier lentisque.
Avoir de bonnes nouvelles d’une amie malade.
Croiser quelqu’un qui dit qu’on a bonne mine.