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  • La question du lundi. Rentrée littéraire.


    Cette année, 511 romans paraissent au moment de la rentrée littéraire. Pour les essais, biographies ou autres, pas cherché combien…
    On pourrait avoir plusieurs réactions par rapport ce nombre de romans publiés. La première, comme un rejet. Ouh la la ! mais il y en a trop ! La seconde, comme une envie boulimique, et se faire une longue liste afin de ne rien rater. Ah oui, ne rien rater... Mais ce n’est pas possible, cela, car il y en a trop, trop d’un coup, effectivement. D’ailleurs, c’est toute l’année que des livres sont publiés et on ne les lit pas tous. En même temps, on aime lire, on aimerait bien en lire… Alors, comment faire ?
    Ici, on en a pour l’instant choisi trois non pas parce que les autres n’ont pas d’intérêt (tout livre est intéressant, chaque livre a son lecteur) mais surtout parce qu’on aime lire et qu’on ne se sent obligé à rien.
    On lira, mais sans se presser, Le dernier inventeur, d’Héloïse Guay de Bellissen parce qu’on suit cette jeune auteure depuis plusieurs années et surtout parce qu’on s’est toujours intéressé aux grottes préhistoriques ; Yoga, d’Emmanuel Carrère, parce qu’on fait du yoga et parce qu’on a encore rien lu de cet auteur qu’on voudrait bien connaître (ce n'est peut-être pas un roman, celui-là) ; Buveurs de vent, de Franck Bouysse, un auteur dont on lit chaque livre et dont on aime bien l’univers et l’écriture magnifique.
    On pourra aussi se laisser aller à une découverte, il y a peut-être un livre qui aimerait bien nous rencontrer… On pourra aussi, quand on aura commencé ces trois-là, les laisser tomber au cas où… mais on ne le souhaite pas, quand même…

    D’où la question du lundi : Quid, pour vous, de la rentrée littéraire ?

  • Menu du dimanche : la bouillabaisse du pauvre.


    Bouillabaisse du pauvre.
    Fruits.

    Recette de la bouillabaisse du pauvre comme on l’a apprise de Gabrielle :
    Dans le gros faitout, faire revenir dans de la graisse des oignons et un poireau. Ensuite, rajouter les tomates. Ne pas oublier que les tomates doivent être bien mûres, pelées et épépinées. Remuer. Après, c’est-à-dire quand ça commence à être un peu cuit, hein, rajouter les pommes de terre coupées en gros morceaux. Saler. Bien poivrer. Rajouter un peu de bouillon de légumes mais il ne faut pas qu’il y ait trop de liquide. Laisser cuire à peu près trois quarts d’heure. Pendant ce temps, préparer dans le mortier un aïoli et le mettre au frais. On peut y mettre du safran aussi. Couper le pain et le faire griller. Quand la préparation est cuite, baisser le feu et veiller à ce qu’il y ait assez de jus. Mettre la table. Il faut des assiettes creuses. Appeler les convives et quand ils sont installés, ils se préparent des petites tartines d’aïoli qu’ils posent dans leur assiette. Casser les œufs bien frais sur le dessus des légumes. Quand les œufs sont prêts (cuits et pochés), les attraper avec les légumes et du jus avec une louche et les verser dans l’assiette.

    Coupe à fruits : raisin, prunes, brugnons, pommes.