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  • Moisson du 27 août 2021.


    Coudre quelques sachets de lavande. Sur la table, les tissus découpés, les bobines de fils, le porte-aiguilles, les ciseaux, les dés, les rouleaux de dentelle, le grand sac de lavande qui embaume, un chat qui dort, un autre qui joue à tenter de sortir les bobines de leur boîte ou à faire rouler les dés à coudre, c’est selon.

    Répondre enfin à quelques lettres. Aller poster les courriers en marchant le long de la mer.

    Simplifier, encore, chaque fois que c’est possible et se rendre compte que c’est toujours possible.

  • Lectures au fil du mois d’août.


    Michel Winock : Le monde selon Flaubert. Pour se préparer à relire Flaubert dont on fête le bicentenaire de la naissance (il était né le 12 décembre 1821).

    Maurizio Di Giovanni : Des phalènes pour le Commissaire Ricciardi. Ouf, Enrica n’a toujours pas épousé Manfred et le Commissaire Ricciardi et elle ont fini quand même par se croiser dans la rue, à la toute fin du roman et ils ont échangé quelques mots. Il faut espérer que le Commissaire Ricciardi se bouge un peu dans le prochain opus qu’on attend avec impatience.

    Faith Martin : Le corbeau d’Oxford et Un pique-nique presque parfait ; une série anglaise policière fort plaisante, un vieux médecin et une jeune policière stagiaire enquêtent.

    Et, la cerise sur le gâteau, parce qu'on n'attend que très rarement quelque chose de la rentrée littéraire, Crions, c’est le jour du fracas, d’Héloïse Guay de Bellissen, un roman qui met en parallèle la révolte des enfants prisonniers au pénitencier de l’Ile du Levant au XIX° siècle et la quête d’absolu d’un groupe d’adolescents dans le sud de la France à la toute fin du XX° siècle.