Dans la salle d’attente d’un service d’urgences, lever les yeux et tomber sur son tableau préféré : Les coquelicots de Monet.
Une jeune femme portant une ombrelle se promène accompagnée d’un jeune enfant. L’un comme l’autre ont la moitié du corps dissimulée par les herbes et, sur le côté du vallon, un immense champ de coquelicots.
Rien n’est plus beau qu’un coquelicot.
Se les rappeler quand, soi-même, on se promenait dans la même région. Quand les premiers beaux jours de la belle saison permettaient ces promenades dans des prés généreux en herbes et en coquelicots sous des cieux très bleus dont les nuages étaient très blancs.
MOISSONNER / Bonheur du jour quotidien - Page 914
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7 mai 2010. Les coquelicots de Monet
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6 mai 2010. Poignées de fèves
Au moment du repas, poser sur la table deux ou trois grosses poignées de fèves. Les cosses longues, vertes et parfois tordues sont bien fraîches, tout juste cueillies.
Inviter chacun à se servir.
Entendre avec joie les exclamations de satisfaction, les « hummm, que c’est bon », les « oh, je ne peux pas résister », les « ce sont les premières de l’année ! ».
Les idées de recettes sont écoutées avec la plus grande attention.
A la fin du repas, comme il reste des fèves, certains repartent travailler avec des cosses qui dépassent de leurs poches.