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auschwitz-birkenau

  • Revoir Benjamin.

    Alors qu’on ne le fait quasiment jamais, regarder les informations à la télévision.
    Et revoir alors Benjamin Orenstein, avec qui on avait fait un voyage d’études à Auschwitz.
    Retrouver sa force de vie.
    Avoir les larmes aux yeux.
    En hommage, republier ce Bonheur du Jour de 2011 :

    10 février 2011. Avenir.

    A la fin d’une journée guidée par les ombres lumineuses d’Etty Hillsum, Irène Némirovsky, Hélène Berr, Anne Frank, et de leurs innombrables compagnes et compagnons,
    Alors que la nuit est déjà tombée,
    Dans un silence que d’innombrables plaintes muettes rendent assourdissant,
    Rejoindre l’entrée du camp d’Auschwitz-Birkenau, en marchant en tête à tête, lentement, près de Benjamin Orenstein.
    L’écouter parler, d’une voix parfois essoufflée mais toujours claire,
    De l’avenir.


  • 10 février 2011. Avenir.



    A la fin d’une journée guidée par les ombres lumineuses d’Etty Hillsum, Irène Némirovsky, Hélène Berr, Anne Frank, et leurs innombrables compagnes et compagnons,

    Alors que la nuit est déjà tombée,

    Dans un silence que tant de plaintes muettes rendent assourdissant,

    Rejoindre l’entrée du camp d’Auschwitz-Birkenau, en marchant en tête à tête, lentement, près de Benjamin Orenstein, survivant à 18 ans de ce centre de mise à mort, témoin acharné à 85 ans de la barbarie qu’il a vécue, combattant inlassable de la mémoire,

    L’écouter parler, d’une voix parfois essoufflée mais toujours claire,

    De ces jeunes qui viennent à Auschwitz, témoins des témoins

    Et surtout, parler de l’avenir….