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irène némirovsky

  • Revoir Benjamin.

    Alors qu’on ne le fait quasiment jamais, regarder les informations à la télévision.
    Et revoir alors Benjamin Orenstein, avec qui on avait fait un voyage d’études à Auschwitz.
    Retrouver sa force de vie.
    Avoir les larmes aux yeux.
    En hommage, republier ce Bonheur du Jour de 2011 :

    10 février 2011. Avenir.

    A la fin d’une journée guidée par les ombres lumineuses d’Etty Hillsum, Irène Némirovsky, Hélène Berr, Anne Frank, et de leurs innombrables compagnes et compagnons,
    Alors que la nuit est déjà tombée,
    Dans un silence que d’innombrables plaintes muettes rendent assourdissant,
    Rejoindre l’entrée du camp d’Auschwitz-Birkenau, en marchant en tête à tête, lentement, près de Benjamin Orenstein.
    L’écouter parler, d’une voix parfois essoufflée mais toujours claire,
    De l’avenir.


  • 5 octobre 2013. Passer la soirée avec Irène et se souvenir d’un ancien Bonheur du Jour.

    Passer la soirée avec un livre qu’on se promettait de lire depuis longtemps, Le Mirador, d’Elisabeth Gille. Livre impressionnant d’amour et de désarroi. Se souvenir alors d’un bonheur du jour écrit en 2010 et pour lequel on avait eu la chance d’avoir un commentaire de Denise Epstein :

    Vendredi 13 août 2010. Irène Némirovsky.

    Etre assise là où Irène Némirovsky elle-même s’est assise il y a plus de soixante dix ans, et être sûre que la barbarie, si elle est plus forte sur l’instant, ne gagne jamais à l’aune de l’éternité : tout à côté, là, un jeune homme allongé sur sa serviette de plage, lit avidement Suite française.