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etty hillsum

  • Une phrase à méditer. Etty Hillesum.

    « Et puisque, désormais libre, je ne veux plus rien posséder, désormais tout m'appartient et ma richesse intérieure est immense. »


    C’est une amie très chère qui a envoyé cette citation l’autre jour, par mail. Qu’elle en soit ici remerciée.
    Chaque lecture d’Etty Hillesum, découverte il y a presque quarante ans, est un renforcement de soi-même.

  • Livres du matin/du sac à main/du soir.

    Le matin, un très beau livre de Tzvetan Todorov, Insoumis dans lequel l’auteur évoque les figures d’Etty Hillsum, Boris Pasternak, Germaine Tillon, Nelson Mandela…

    Dans le sac à dos, les poésies de Rimbaud après qu’on ait pu voir (avant la panne) une magnifique émission sur le poète. Dans les Poésies :

    Comme je descendais les fleuves impassibles,
    Je ne me sentis plus guidé par les haleurs,
    Des peaux-rouges criards les avaient pris pour cibles,
    Les ayant cloués nus aux poteaux couleurs.

    Ailleurs, dans Les ponts :
    "Des ciels gris de cristal."

    Ailleurs encore dans Une saison en enfer :

    « Elle est retrouvée !
    - Quoi ? – L’Eternité
    C’est la mer mêlée
    Au soleil. »


    Le soir, L’arbre monde de Richard Powers, en alternance avec Les roses de la nuit d’Arnaldur Indridasson.