Fêter le premier anniversaire d’un petit bout de chou qui marche presque, déjà…
Admirer les bougainvillées fuchsias et la clarté de l’eau près de la Villa Pauline de Bandol.
Faire le pain.
Etre émue, encore une fois, quand Edmond Dantès sauve de la faillite ce Monsieur Morrel qui fut son patron, un homme tellement honnête et tellement bon.
S’asseoir sous les pins et sentir le parfum de l’été.
Regarder une émission qu’on aime braiment bien, Vivre au bout du monde.
edmond dantès
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Moisson.
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La question du lundi. Préfaces, postfaces, introductions, notes…
Alors qu’on est plongé, ça y est, dans Le comte de Monte-Cristo, on décide cette fois-ci de ne pas négliger les notes. On reprend depuis le début et on s’en va lire celle de la page 7 : « On sait que comte Bertrand (1773-1844) suivit Napoléon à l’île d’Elbe, puis à Sainte-Hélène. Il était grand maréchal du palais depuis la mort de Duroc (1813). » Ah bon… « On sait que… », non, on ne savait pas. On ne savait pas non plus que Duroc avait été grand maréchal du palais jusqu’en 1813…. C’est bien riche d’érudition, tout ça… D’ailleurs, on n’a pas lu la préface ! On repart en arrière encore une fois (peu importe, on ne perd jamais son temps avec Dumas). Elle est longue de … XXVIII pages (28 pages, c’est ça ?) mais à la phrase « Il a pris l’Histoire pour masque de sa subjectivité et de vie contemporaine », on s’arme de courage pour poursuivre mais on s’en va butter sur « Tantôt il oppose à la prose du monde louis-philippard (le nôtre) les héros des temps révolus, tantôt un tout-puissant redresseur de torts, où il se reconnaît lui-même ».
On s’en va retrouver Edmond, vite fait, bien fait.
D’où la question du lundi : Lisez-vous les préfaces, les postfaces, les introductions, les notes, etc ?