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les raisins de la colère

  • Steinbeck, Indridason, Frank Capa, pique-nique à l’abri de la pluie, bzzz dans le chèvrefeuille.


    Lectures en cours : Toujours "Les raisins de la colère" de Steinbeck, ainsi que son "Journal russe", compte-rendu d’un voyage de quarante jours en 1947 en Union Soviétique ; de très belles photographies de Frank Capa. Après, ce sera "Le roi et l’horloger", d’Arnaldur Indridason.

    Pique-nique : Le dernier des trois jours des saints de glace, la pluie se met à tomber drue alors qu’on commence à installer le pique-nique prévu sous les grands pins. On se replie vite à l’intérieur, comme on peut. On se serre, on rit, on partage les différents plats amenés par les uns ou les autres, on papote. Après le repas, les uns rangent dans la cuisine, les autres restent à table et continuent de discuter, ou préparent du café ou se nichent dans un coin pour écouter une musique que quelqu’un a envie de faire connaître ou restent devant la fenêtre pour regarder dehors cette pluie finalement accueillie avec joie.

    Musique : Le bzzz des abeilles en très grand nombre dans le chèvrefeuille.

  • La question du lundi. Rire de soi-même.

    Après la lecture passionnante des Journaux des Raisins de la colère, de John Steinbeck, la relecture des Raisins de la colère s’impose. Comme on est persuadé de ne pas avoir ce roman sur les étagères, on va à la Bibliothèque. Las, pas de roman en lieu et place. Pourtant, la bibliothécaire est sûre qu’il n’est pas emprunté. On lui explique qu'on a hâte de le relire ! On cherche, on fouille, et on finit par le trouver, mal rangé. On rentre à la maison avec impatience. Mais quand même, on regarde si, éventuellement, peut-être, finalement, on n’aurait pas ce grand roman de Steinbeck là-haut. Et voilà qu’on en trouve trois exemplaires. Un en Livre de Poche, un en Folio, et un dans une édition blanche de chez Gallimard. On a honte d’avoir dérangé la bibliothécaire. Mais on rit de bon cœur de soi-même.

    Et vous, riez-vous de vous-même ?