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quelques grammes de silence

  • Passer la soirée dans le silence.

    Passer une soirée à lire Quelques gramme de silence, d’Erling Kagge. Passer une deuxième soirée à le relire. Passer une troisième soirée à le re-relire.
    L’auteur semble penser que le silence est plus fort que les mots. Il cite Wittgenstein : « Ce qui peut se montrer, ne peut pas se dire ». Ici, est-ce parce qu’on peut dire, que cet espace est sans image ? Question posée - pas de réponse pour l'instant.
    Demain, on rendra le livre à la Médiathèque et on ira l’acheter à la Librairie Charlemagne, afin qu’il rejoigne la collection de livres sur le silence qu’on aime avoir tout près de soi. Mais avant d’aller sur le rayon de la bibliothèque, il restera un temps certain dans le sac à dos pour qu’on puisse le sortir quand, pendant une marche, on fait une pause pour se désaltérer – dans tous les sens du terme.

  • Lectures du soir et du matin.

    « Si je ne peux m’éloigner du monde ni à pied, ni en escaladant, ni à la voile, j’ai appris à m’en abstraire. Il m’a fallu du temps pour l’apprendre. Quand j’ai compris que j’avais un profond besoin de silence, j’ai pu enfin me mettre à sa recherche ». Incipit de Quelques grammes de silence, de Erling Kagge. C’est le livre du soir pour quelques soirs.

    « Chère Amie, Lorsque j’ai reçu votre première lettre, je vous ai répondu immédiatement. Avoir de vos nouvelles plus de trente ans après m’a procuré une telle émotion que ma réaction ne pouvait être qu’un cri instantané ». Incipit de De l’âme, de François Cheng. C’est le livre du matin pour plusieurs matins.