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se délester des complications

  • La question du lundi. Se délester, encore et encore.


    Dans le langage journalistique, un marronnier est non seulement un fait qui revient régulièrement mais auquel on ne peut échapper car il fait de l’audience.
    Dans la vie de chacun, il y a des marronniers. Elles prennent souvent la forme de contraintes et donnent l’impression qu’on est enfermé dans un cycle d’obligations qui ne finira jamais et qu’on subit en faisant semblant, en quelque sorte mais dont on bénéficie aussi puisqu’on en a des bénéfices secondaires, comme le fait de ne pas être trop seul ou d’être considéré comme trop moche ou… bref, c’est selon.
    Mais on peut se délester de cela. On a déjà abordé ce thème dans une ancienne question du lundi. Dire non quand on a envie de dire non ; dire oui quand on a envie de dire oui. Le chemin de la liberté intérieure est long, son climat est assez aride mais on acquiert une richesse qui ne peut pas toujours se quantifier.

    D’où la question du lundi : Se délester, pour vous, c’est pas besoin, pas encore commencé, en cours mais c’est pas gagné, en bonne voie, terminé ?