Par ici, pas de confiture anonyme, surtout l’été : on connaît et les jardins et les confiturières et les confituriers et leurs cuisines, et leur écriture sur l’étiquette.
Elles ou ils ont chacun leurs façons : des petits pots pour les uns, des grands pour les autres, des bocaux aussi ; certains mettent de la paraffine, d’autres pas ; on a les méticuleux qui collent l’étiquette parfaitement droit et ont une écriture qui leur aurait valu 10/10 à l’école communale, et les autres qui scotchent rapidement et de travers un morceau de papier avec juste : Prunes – août 16.
Après la confiture d’abricots de Bargème, celle, d’abricots toujours mais de Bastian, on a eu la confiture de pèches de Sanary.
On en est maintenant au pot de confiture de prunes de Besse-sur-Issole, en attendant d’ouvrir celui de figues de St Cyr. De la figue, on en aura d’autres aussi, on le sait. C’est une bonne année pour les figues. Ou pour les mangeurs de confitures de figues….
traçabilité
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Traçabilité.