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Moisson.

Repérer trois brins de menthe un peu maigrichons dans un coin la cour. Les déplacer et les replanter là où on espère qu'ils grandiront bien pour que bientôt, devenus grands et forts, ils seront à la disposition de tous pour d’éventuels thés ou taboulés.
Admirer les fleurs du gazania jaune, toutes déployées dans le soleil.
Pour lui rendre hommage, relire quelques passages de Le monde du bout du monde, de l’Histoire de la mouette et du chat qui lui apprit à voler, Le vieux qui lisait des romans d’amour, de Sepulveda, celui qui disait : « J’écris parce que je crois à la force militante des mots. »

Commentaires

  • "Le vieux qui lisait des romans d'amour" , a été lu ici en 2013. Ma fille l'avait étudié au collège. Et je l'ai lu, car découvert en rangeant sa chambre quand elle est parti étudiante...
    Je vais le reprendre et le relire.
    Et chercher ensuite " Le chat et la mouette"...
    Et mon voisin m'a offert 3 grosses potées de menthe le jour de päques; elles me seront précieuses...
    Bon WE Marie

  • plus que jamais, je crois en la force militante des mots ...
    bon week-end
    amitié .

  • Les paroles s'envolent, les écrits restent, une autre manière de le dire (pas de moi, bien sûr).

  • Force militante des mots, certes, mais malheureusement, les mots sont mis à rude épreuve et torturés, tordus dans tous les sens. On leur fait souvent dire ce qu'ils ne veulent pas dire et servent aux mensonges.

  • Regretté et tant aimé Luis Sepulveda!
    "Il savait lire.
    Ce fut la découverte la plus importante de sa vie. Il savait lire. Il possédait l'antidote contre le redoutable venin de la vieillesse. Il savait lire. Mais il n'avait rien à lire." ( le vieux qui lisait...").
    Roman, court et si parfait je trouve, relu plusieurs fois.
    Bon week-end Marie, mais est-ce le WE? Je rigole mais les jours se ressemblent tant...un beso

  • J'ai ressorti aussi le roman de Sepulveda que j'avais dans ma bibliothèque.
    J'avais beaucoup aimé.
    Bises et douce journée.

  • Curieux… Dans mes relectures programmées en période de confinement, la mouette et le chat figurait dans la pile !
    A relire, donc, en écoutant Les mots bleus...

  • Bon week end

  • Sepulveda... je vais le relire ;)
    Doux w-e Marie, bisous, gros câlins à tes Félins :)

  • Un auteur découvert il y a quelques années... il aurait pu en écrire encore des livres et nous offrir ses si belles images ..

  • J'ai vu ça que Sepulveda était mort. A la maison je n'ai que "l"histoire d'une mouette" que j'aimais beaucoup raconter à mes fils et qui maintenant est lu par mes petits-enfants, quand ils viennent....Mais bien entendu j'ai lu plusieurs autres de ses romans pour ados et pour adultes...Il faut le relire à présent. Bon week-end Marie

  • Luis Sepulvada était un romancier remarquable. Beaucoup aimé . J'ai vu qu'était sorti en octobre dernier un nouveau conte: https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-culture/luis-sepulveda-la-revanche-de-la-baleine Je vais l'acheter dés qu'on pourra retourner dans les librairies .Bon week-end .

  • le gazania est une fleur de soleil ... et toujours sympa de découvrir de petites plantes. Oui cette menthe va bien se plaire.
    Je n'ai pas lu de roman de Sepulveda mais des nouvelles.
    dans le four une tarte aux pommes cuit et elle commence à sentir bon. Bonne soirée

  • Il va falloir que je trouve le temps de lire !!
    Je te souhaite un bon dimanche. Bises

  • J'ai déplacé la menthe, également, qui avait tendance à s'échapper.

  • C'est curieux, combien je trouve que vos trois brins de menthe et Sepulveda vont bien ensemble ! Il n'y a là aucun lien, juste une impression.

    "La force militante des mots" ; quelle merveilleuse sentence.

    Le monde est fait d'impression, décidément.

    Toutes mes amitiés

  • Un beau livre que mon fils avait étudié en sixième. j'avais beaucoup aimé.
    •.¸¸.•*`*•.¸¸☆

  • J'ai joué la sauveuse au jardin, des orchidées sauvages s'installent dans le notre, un peu plus nombreuses chaque année, Mais là, elles avaient décidé de venir juste au beau milieu, autour et sous les chaises de la table. Ni une ni deux, je les ai transférées juste à côté où personne ne marche jamais, depuis elles me sourient toutes en fleurs sont-elles ! Je les regardes tous les matins lorsque je sors, nous discutons place dans la société, héhé !

  • lire plutôt : "je les regarde" comme cela !

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