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  • C’est si fugitif, les effets.


    En allant chercher des livres à la bibliothèque du Musée d’Arts, quel plaisir de découvrir qu’il y a aussi une exposition bien tentante qui vient de commencer : « De Delacroix à Signac, l’aquarelle dans tous ses états ». Je décide de la visiter sans tarder, laissant dans un casier les livres empruntés à la Bibliothèque du Musée d’Arts et ceux de la Médiathèque Chalucet. Delacroix, Signac, mais aussi Boudin, Granet, Ziem, Courdouan, Nardi, Cross, Pissarro (le grand Pissarro), le merveilleux Jongkind dont je n’avais pas vu de tableaux depuis bien longtemps. Comme l’exposition dure jusqu’en octobre et qu’elle est absolument magnifique, il y aura sans aucun doute de nombreuses visites !
    Quelques mots de Pissarro à propos de l’aquarelle : « C’est précieux, très pratique, on peut arriver en quelques minutes à prendre des notes impossibles autrement – la fluidité d’un ciel, certaines transparences, un tas de petits renseignements qu’un lent travail ne peut donner : c’est si fugitif, les effets. »