Passer la soirée à lire Les nuits de Reykjavik, d’Arnaldur Indridason.
C’est un beau personnage que cet Erlendur qui n’entre dans aucun des moules préparés pour lui par la société, qui vit constamment de questions, pourquoi ? comment ? où ? qui ? quand ? et, quand il trouve des réponses, recommence, encore et encore, pourquoi ? comment ? où ? etc. Un homme d’exigence, d’une certaine façon.

Lundi, Villa-Lobos, les Bachianas Brasileiras.
Mardi, Bach, Concerto brandebourgeois n°4.
Mercredi, Bach, Concerto brandebourgeois n°3.
Jeudi, Bach, Concerto brandebourgeois n°5.
Vendredi, un long moment dans les embouteillages, Beethoven, le rondo final du 4ème concerto pour piano et orchestre, interprété par Krystian Zimerman, grâce à Alain Duault ; puis, dans le fatras des cd, le même morceau interprété par Emils Gilels, puis le même par Clara Haskil, puis le même par Arthur Rubinstein.