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arnaldur indridason

  • Romans policiers, Tchékov, bruyères.


    Lectures en cours : « Couronnement fatal à Middle Fenton », de Faith Martin – une enquête policière dans les années soixante menée par une jeune policière qui a du mal à se faire une place au sein de la police et par un juge atteint d’une grave maladie ; « Passage des ombres », d’Arnaldur Indridason – une enquête policière en Islande, menée par l’inspecteur Konrad, désormais à la retraite ; relecture de « La Cerisaie », de Tchekhov, qu’on ne présente plus.

    Bruyères : Il sera bientôt temps de mettre quelques bruyères par-ci par-là. Sur le rebord de la fenêtre, bien sûr ; accrochée au portail, évidemment. On les choisira de ce doux rose qui évoque toujours cette grand-mère qui portait des chandails d’une teinte semblable. Mais pour les chrysanthèmes qui viendront ensuite leur tenir compagnie, ce sera plutôt du jaune.



  • Lire, potimarrons, boîtes à livres.


    Lectures en cours : « Ce que savait la nuit », d’Arnaldur Indridason. C’est vraiment bien, comme toujours avec cet auteur islandais. En première approche de l’œuvre de Louise Glück, Prix Nobel de Littérature, « L’Iris sauvage » et « Nuit de foi et de vertu », en édition bilingue, ce qui est toujours intéressant. Traduire est un art.

    Potimarrons : Sur les étals, rencontrer les premiers potimarrons, les premières courges. Ces teintes orangées se marient bien avec le violet des grappes de raisin et des quetsches. On fera une tarte avec ces dernières lors du prochain pique-nique.

    Boîte à livres : Déposer dans des boîtes à livres ceux qu’on a extraits du bureau parce qu’on ne les relira pas et que la place est comptée.