C’est important pour moi de signaler les gestes de soutiens reçus pour que mon livre, Aussitôt que la vie, puisse avoir plus de reconnaissance.
Merci à ceux qui envoient des mails à leurs proches pour leur en suggérer la lecture, à ceux qui me communiquent des adresses ou des liens pour envoyer une information à propos de cette publication, et d’autres qui me suggèrent des pistes pour organiser des séances de dédicaces.
Merci à ceux qui écrivent des articles sur leur blog (ou prévoient de le faire) :
- Tania, sur son blog Textes et Prétextes, fut la première.
- Durga, sur son blog Petites Graines, vient de le faire !
Et merci à ceux qui passent commandes.
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Pistes pour le mois de mai. Tendre le bras, tendre un bouquet.
C’est le 1er mai, la traditionnelle fête du muguet. Acceptons-là comme l’occasion d’offrir une fleur, en l’occurrence du muguet aujourd’hui, quoiqu’on puisse aussi offrir des pivoines qui commencent à arriver, ou des roses, ou des marguerites, ou encore du seringat qu’on peut chiper sur une haie. Simplement arriver chez quelqu’un qu’on aime beaucoup ou un peu moins (le plus éloquent, ce serait « pas du tout », mais là, il faut quand même du courage et on n’en pas toujours suffisamment et de plus la grandeur d’âme ne court pas les rues, il faut le reconnaître…) ou chez quelqu’un qui est seul, toc toc toc, bonjour ! je vous ai apporté du muguet ! Donner du muguet, donner une fleur ; recevoir un sourire, ou même rien, tant pis pour les fâcheux qui font toujours la tête.
En fait, se faire plaisir, parce que cela fait plaisir d’offrir des fleurs, n’est-ce pas ? Même une seule fleur quand on ne peut pas plus.
Faire un geste en avant, comme celui de tendre le bouquet.
Aujourd’hui 1er mai ; mais demain aussi et tout le mois de mai, pourquoi pas ?